02/09/2025
La science de la conscience non-locale
Introduction
la conscience non-locale: Il y a de nombreuses années (2019), lors d’un long trajet en autocar, je suis tombé sur un appel au financement participatif lancé par Valérie Seguin. Par curiosité, j’ai contribué et, peu après, j’ai reçu plusieurs de ses ouvrages que j’ai lus avec avidité. Sans le savoir, ce geste a nourri une quête intérieure et intellectuelle qui m’habite depuis près de vingt ans : comprendre la véritable nature de la conscience.
L’expérience de Valérie

ces fameux trois jours et demi après le décès de son père où elle a ressenti sa présence – s’inscrit dans une vaste constellation de témoignages et de recherches scientifiques. Elle rejoint ce que de nombreux médecins et chercheurs observent depuis des décennies, parmi lesquels le cardiologue néerlandais Pim van Lommel, figure de référence dans l’étude des expériences de mort imminente (EMI).
ces fameux trois jours et demi après le décès de son père où elle a ressenti sa présence – s’inscrit dans une vaste constellation de témoignages et de recherches scientifiques. Elle rejoint ce que de nombreux médecins et chercheurs observent depuis des décennies, parmi lesquels le cardiologue néerlandais Pim van Lommel, figure de référence dans l’étude des expériences de mort imminente (EMI).
La conscience n’est pas produite par le cerveau (la conscience non-locale)
Après quarante années d’études sur les EMI, Pim van Lommel affirme que la conscience ne peut être réduite à l’activité neuronale. Selon lui, le cerveau n’est pas l’origine de la conscience, mais un récepteur ou un relais qui la laisse passer. L’image souvent utilisée est celle de la radio : les ondes existent indépendamment de l’appareil, lequel ne fait que les capter et les diffuser.
De même, nos neurones agiraient comme une station wifi : ils reçoivent et transmettent des informations, mais le signal – ce champ de conscience – existe en dehors du support biologique. De plus en plus d’études en neurosciences, en physique quantique et en psychologie transpersonnelle pointent dans la même direction : le cerveau fonctionne comme un filtre, non comme une source.
Quand science et spiritualité se rencontrent. (la conscience non-locale)
Ce qui rend l’histoire de Valérie Seguin si précieuse, c’est sa résonance avec des milliers de témoignages similaires recueillis à travers le monde. Des personnes ayant frôlé la mort décrivent une conscience claire, élargie, indépendante de toute fonction corporelle. Elles rapportent souvent une impression d’unité, d’amour inconditionnel et de continuité de l’existence.
Van Lommel parle d’une conscience non-locale, un champ universel d’où émerge notre identité individuelle. Cette perspective rejoint de nombreuses traditions spirituelles anciennes qui enseignent depuis toujours que ce n’est pas le corps qui possède un esprit, mais l’esprit qui habite un corps.
Une intuition confirmée par des recherches internationales (la conscience non-locale)
Des études menées dans divers pays confirment peu à peu cette intuition millénaire. Des revues scientifiques de renom publient aujourd’hui des travaux sur la conscience non-locale, mettant en lumière des cas vérifiés de perception ou de souvenirs durant des arrêts cardiaques prolongés.
Ces résultats bouleversent la vision matérialiste classique, selon laquelle la pensée serait un simple produit chimique du cerveau. Ils ouvrent la voie à une compréhension nouvelle : nous sommes bien plus vastes que nos cellules ou nos souvenirs.
Un travail d’écriture entre science et sagesse ancienne. (la conscience non-locale)
Écrire sur ces thèmes en français est pour moi une joie profonde. Non seulement parce qu’il existe déjà une abondance d’études internationales qu’il est important de rendre accessibles au public francophone, mais aussi parce que ce travail me permet de relier ce que la science découvre pas à pas avec ce que les grandes traditions spirituelles affirment depuis des millénaires.
Comme maître spirituel disait : Un jour, nous quitterons ce corps comme on laisse une vieille voiture pour en prendre une nouvelle. Cette image illustre bien ce mystère : la conscience voyage, elle s’incarne, puis se détache.
Le mystère de la vie et de la mort
La question essentielle demeure : comment la conscience se lie-t-elle au corps et comment s’en détache-t-elle ? C’est ce mystère qui est au cœur de mes recherches et de mon engagement.
Quelle que soit la réponse finale, une chose est sûre : il existe en nous une dimension plus grande que nos cellules, plus vaste que notre mémoire. Peut-être que la mort n’est pas une fin, mais un passage vers une autre forme de vie.
Conclusion
Le témoignage de Valérie Seguin, éclairé par les travaux de Pim van Lommel et par de nombreuses recherches internationales, ouvre un espace de réflexion fécond : et si la conscience survivait à la mort du corps ? Et si la science et la spiritualité, loin de s’opposer, décrivaient ensemble une réalité plus vaste que nous commençons à peine à entrevoir ?
À travers ces récits et ces études, c’est une même invitation qui se dessine : vivre en sachant que nous sommes peut-être bien plus que ce que nous croyons, et que la mort pourrait n’être qu’une étape dans l’aventure infinie de la conscience.
Merci de votre présence dans ces mots. Que la lumière de la conscience vous guide… à très bientôt,
Cornelius